Les réseaux sont en fait des résilles de métaux...

Autour de cette sphère, on trouve un manteau rocheux, la Pyrosphère (2), qui
contient à l'état pâteux tous les métaux de la table de Mendeleïev, dont du Silicium
et du Magnésium en quantité importante.
La croûte extérieure, la Lythosphère (3) dure et relativement peu épaisse, contient en majorité du Silicium et de l'Aluminium.
Telles les mailles d'un filet, les rayonnements du magma nous proviennent sous
forme de résilles d'énergie (4), chaque métal ayant sa propre résille et possédant une information vibratoire avec une fréquence spécifique, leurs dimensions étant
fonction de leur importance quantitative.
Recherchant à comprendre leur nature, Georges Prat, architecte et géobiologue, a travaillé avec un chercheur
autrichien qui a identifié les rayonnements de ces réseaux à des métaux (on ne sait malheureusement pas comment
ce chercheur a procédé, ni quels types de mesures il a effectué).
C'est ainsi qu'en effectuant leurs recherches, ils ont retrouvé la nature des principaux réseaux dont nous
tenons compte en Géobiologie :
- Le réseau dit Peyré, portant la radiation de l’or.
- Le réseau dit Curry, celle du fer.
- Et le réseau dit Hartmann, celle du nickel.
- Mais ils en ont (re)découvert bien d'autres...
Ces métaux fortement chauffés générant à la surface du globe des radiations sous forme de résilles (de
véritables murs perpendiculaires), chaque métal possédant sa résille particulière d'autant plus serrée que sa quantité
est importante, l'épaisseur de ces murs radiants étant aussi différente selon les métaux.

Sachant que selon la loi de Planck, tout métal chauffé irradie, noyés dans la masse pâteuse en fusion ils sont
soumis à la force centrifuge et ils s'éloignent peu à peu du centre, jusqu'au moment où il n'y a plus assez de
chaleur pour les maintenir en fusion, chaque métal possédant sa résille avec sa propre densité et sa propre
conductibilité (tous irradiants), chacun aura donc un itinéraire et un déploiement différent.
Les résilles de métaux qui irradient ici la basilique de Vézelay (source George Prat).
Entrant en résonance avec les métaux et les oligo-éléments présents dans notre corps, ces résilles qui étaient un
des paramètres pris en compte pour implanter un dolmen ou un menhir, le nickel et le fer notamment, mais aussi le
palladium, le titane, le lithium ou encore l'antimoine, ont également été utilisés par les bâtisseurs des
sanctuaires consacrés à mithra, les égyptiens, les aztèques, les celtes, puis plus proches de nous, les églises romanes.
D'où comme l’homéopathie et l’oligothérapie, les propriétés soignantes des mégalithes, des chapelles, des églises
ou encore des sources, connus pour être "guérisseurs", la présence de ces résilles expliquant une grande partie de
leurs propriétés régénératrices et curatives, le croisement de plusieurs agissant d’autant...
Ces résilles constituent également une trame planétaire qui
capte et redistribue l'énergie vitale, et qui est en quelque sorte le système circulatoire de la terre, son réseau
de vaisseaux sanguins...