Selon la proximité, l’intensité, la fréquence... selon chaque sensibilité...
chaque prédisposition... à partir d'un seuil
plus ou moins élevé... ces émissions, entrant en interaction
avec les tissus biologiques, mobilisent alors l'activité cellulaire contre ce stress subi...
Bien qu'ils puissent être d'origines multifactoriels, ce qui ne favorise pas
leur reconnaissance, et ce qui a permis jusqu'à présent aux différents intervenants de nier tous autres effets que
thermiques, la progression des connaissances scientifiques rendent cependant de plus en plus difficile la défense
de cette thèse...
Il semble bien que la sensibilité aux ondes électromagnétiques se rapproche fortement de ce qu'on appelle le
"capital soleil", soit une sensibilité aux rayonnements UV, qui, lorsqu’un seuil de saturation est
atteint,
déclenchent des réactions en chaîne avec l’apparition de symptômes mineurs pouvant aller jusqu’à des pathologies
plus lourdes.
Analogiquement, la problématique de l'impact des ondes agit à l’instar de la goutte d’eau qui fait déborder le
vase, et lorsqu’un seuil d’exposition est atteint, des troubles apparaîssent allant jusqu'à des problématiques
plus importantes selon chaque cas particulier...
C'est ainsi qu'on observe des effets thermiques...
Une augmentation de la température provoquée par l'agitation moléculaire générée par ces rayonnements,
l'échauffement étant un phénomène naturel, la capacité de thermorégulation du corps compensant naturellement la
hausse de température, cependant, lors d'une exposition à des rayonnements trop puissants, cette capacité est
insuffisante.
Et des effets biologiques, en interaction avec d'autres pollutions environnementales...
Certaines études mettant en cause les rayonnements électromagnétiques dans l'apparition de troubles du sommeil,
d'une fatigue anormale, de nervosité, de vertiges ou de pertes de mémoire, ou encore de difficultés de concentration.
On observe également une ouverture de la barrière hémato-encéphalique, la barrière cellulaire qui entoure le
cerveau qui devient alors poreuse et perméable, la voie devenant alors libre permet le passage de substances
toxiques, comme par exemple les métaux lourds avec toutes les conséquences induites...
D'autres études montrent qu'une exposition à ces champs fait chuter la sécrétion de mélatonine, un
neurotransmetteur qui joue un rôle important dans les défenses immunitaires et régule le rythme biologique,
pouvant occasionner une fragilisation de l'ADN...
Les différents opérateurs se retranchant derrière les normes (les seuils d'exposition maximale retenus en France
comptant parmi les plus élevés à l'échelle internationale), et ne prenant pas en compte l'avancée des
connaissances de la médecine environnementale ainsi que les différentes préconisations européennes...
En savoir plus sur les normes et les valeurs biocompatibles recommandées...
On parle aussi de syndrome des micro-ondes
Ce sont les chercheurs russes, qui dès 1960 ont décrit les premiers les effets spécifiques et le syndrome des
micro-ondes, qui ont été confirmés par différents publications qui préciseront le lien entre ce syndrome et
l'exposition à des hyperfréquences pulsées.
Il semblerait bien que l'action au niveau biologique s'effectue aussi
au niveau des champs de torsion,
un phénomène peu connu en France (ou occulté), mais que les mêmes chercheurs russes connaissent bien et sont même
très avancés sur le sujet.
L'interaction de ces rayonnements avec notre métabolisme bio-électromagnétique générant notamment des syndromes
caractérisés par certains mécanismes et certains effets.
Ce qu'on observe également au niveau des corps énergétiques
en présence de micro-ondes pulsées...
Une impossibilité scientifique : démontrer un non-effet...
On objecte souvent qu’à contrario, aucune étude n’a prouvé que l’exposition aux champs électromagnétiques ne présente
pas de risques, c’est cependant méconnaître le principe selon lequel la science ne peut pas prouver qu’un effet
n’existe pas.
Autrement dit, la méthode scientifique permet de quantifier les effets d’une cause mesurable, en revanche, il est
scientifiquement impossible de démontrer un "non-effet", puisqu’aucune preuve ou mesure sur laquelle pourrait
s’échafauder le raisonnement scientifique n’existe...
Ainsi, on ne peut démontrer scientifiquement que les phénomènes surnaturels ou paranormaux (comme par exemple
les fantômes) n’ont pas de réalité, ce qui n’empêche pas une grande partie de la communauté scientifique d’être
convaincue de leur inexistence...
On notera que conscients des risques, les assureurs ont pris les devants et ils ont modifiés leurs contrats en
excluant des conditions générales et particulières les dommages de toute nature causés par l'amiante, le plomb,
le formaldéhyde, les champs et les ondes électromagnétiques, ainsi que les dommages résultants de l'utilisation
ou de la dissémination d'organes génétiquement modifiés (OGM).
Ainsi, sous la pression des compagnies de réassurance, les assurances professionnelles et industrielles en
responsabilité civile (R.C.) ont assortis leurs polices de certaines clauses d’exclusions particulières :
- Les dommages causés par tout fait ou succession de faits de même origine, dès lors que ce fait ou ces faits ou
certains dommages causés proviennent ou résultent de toutes sortes de radiations ionisantes, des propriétés
radioactives, toxiques, explosives ou autres propriétés dangereuses des combustibles nucléaires, produits ou
déchets radioactifs.
- Les dommages immatériels non consécutifs.
- Tous les dommages, pertes, frais ou dépenses de quelque nature que ce soit, causés directement ou indirectement
par, résultant de, ou lié de quelque manière que ce soit aux champs électromagnétiques (EMF).
- Tous les dommages, pertes ou dépenses de quelque nature que ce soit, causés directement ou indirectement par,
résultant de, ou lié, de quelque manière que ce soit à l’encéphalopathie spongiforme transmissible (TSE) en ce
compris dans sa manifestation chez l’homme.
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