L'aspect sanitaire

 

Ateliers habitat vivant

 

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Bien qu'ils puissent être d'origines multifactoriels, ce qui ne favorise pas leur reconnaissance et ce qui a permis aux différents intervenants de nier tous autres effets que thermiques jusqu'à présent, la progression des connaissances scientifiques rendent cependant de plus en plus intenable la défense de cette thèse...













 

C'est ainsi qu'on observe des effets thermiques
Une augmentation de la température provoquée par l'agitation moléculaire générée par ces rayonnements.

 

L'échauffement étant un phénomène naturel, la capacité de thermorégulation du corps compensant naturellement la hausse de température, cependant, lors d'une exposition à un rayonnement trop puissant, cette capacité est insuffisante et des brûlures peuvent apparaîtrent.

Et des effets biologiques, en interaction avec d'autres pollutions environnementales
De nombreuses études mettant en cause les rayonnements électromagnétiques dans l'apparition de troubles du sommeil, d'une fatigue anormale, de nervosité, de vertiges ou de pertes de mémoire, ou encore de difficultés
de concentration.

Ondes électromagnétiques

 

On observe également une ouverture de la barrière hémato-encéphalique, la barrière cellulaire qui entoure le cerveau, qui devient alors poreuse et perméable lorsqu'elle est soumise à des micro-ondes pulsées, la voie devenue alors libre permettant le passage de substances toxiques comme par exemple les métaux lourds, avec toutes leurs conséquences...

 

La majorité des substances chimiques industrielles synthétiques parmi lesquelles nous évoluons étant allergènes et non biocompatibles avec notre organisme, cette perméabilité favorisant la pénétration, voire l'imprégnation de nos organismes par une multitude de particules nocives par voie cutanée, respiratoire et digestive, avec des conséquences neurotoxiques, endocriniennes, métaboliques, cancérigènes, génotoxiques
ou reprotoxiques.

 

D'autres études montrent qu'une exposition à ces champs fait chuter la sécrétion de mélatonine, un neurotransmetteur qui joue un rôle important dans les défenses immunitaires et régule le rythme biologique, et peuvent notamment occasionner une fragilisation de l'ADN...

 

L'exposition massive et continue à ce brouillard d'ondes (électrosmog) entraînant la baisse de nos défenses immunitaires et s'avèrant être l'un des principaux facteurs environnementaux responsables de maladies chroniques, métaboliques et/ou neurodégénératives, voire maladies rares ou orphelines.

Des normes inadaptées et des effets sanitaires avérés...

On notera que les limites sont déterminées uniquement en fonction de l'élévation de température produite dans le corps humain sur la base de mesures réalisées sur un demi-mannequin en plastique remplis d'un gel (sic ?!), ne tenant donc pas compte les mesures des pics des micro-ondes pulsées, par exemple, les différents opérateurs se retranchant derrière les normes et ne prenant pas en compte l'avancée des connaissances de la médecine environnementale ainsi que les différentes préconisations, notamment européennes...

De nombreuses études scientifiques ayant démontré les effets biologiques des ondes électromagnétiques

Cependant, lorsque les résultats se sont avérés trop préjudiciables pour les différents opérateurs, ces études ont été arrêtés ou leurs résultats non publiés (sic).

 

Pour le Professeur Dominique Belpomme et son équipe, en pointe dans ce domaine, les causes sont bien identifiées, écoutons le professeur qui sait de quoi il parle...

 

Le danger des ondes électromagnétiques (Part1)

 

Le danger des ondes électromagnétiques (Part2)

 

Le danger des ondes électromagnétiques (Part3)

 

Le site du Pr Belpomme et son équipe

 

Béatrice Milbert, maladies et ondes électromagnétiques

 

Une impossibilité scientifique : démontrer un non-effet...

On objecte souvent qu’a contrario aucune étude n’a prouvé que l’exposition aux champs électromagnétiques ne présente pas de risques, c’est cependant méconnaître le principe selon lequel la science ne peut pas prouver qu’un effet n’existe pas.

 

Autrement dit, la méthode scientifique permet de quantifier les effets d’une cause mesurable, en revanche, il est scientifiquement impossible de démontrer un "non-effet", puisqu’aucune preuve ou mesure sur laquelle pourrait s’échafauder le raisonnement scientifique n’existe...

 

Ainsi, on ne peut démontrer scientifiquement que les phénomènes surnaturels ou paranormaux (par exemple comme les fantômes) n’ont pas de réalité, ce qui n’empêche pas une partie de la communauté scientifique d’être convaincue de leur inexistence...

Conscients des risques, les assureurs ont pris les devants et observent le principe de précaution

 

Ils ont ainsi modifiés leurs contrats en excluant des conditions générales et particulières les dommages de toute nature causés par l'amiante, le plomb, les champs et les ondes électromagnétiques, le formaldéhyde, ainsi que les dommages résultants de l'utilisation ou de la dissémination d'organes génétiquement modifiés (OGM).

 

Sous la pression des compagnies de réassurance, les assurances professionnelles et industrielles en responsabilité civile (R.C.) ont assortis leurs polices de certaines clauses d’exclusions particulières :
  • Les dommages causés par tout fait ou succession de faits de même origine, dès lors que ce ou ces faits ou certains dommages causés proviennent ou résultent de toutes sortes de radiations ionisantes, des propriétés radioactives, toxiques, explosives ou autres propriétés dangereuses des combustibles nucléaires, produits ou déchets radioactifs.
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  • Les dommages immatériels non consécutifs.
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  • Tous les dommages, pertes, frais ou dépenses de quelque nature que ce soit, causés directement ou indirectement par, résultant de, ou lié de quelque manière que ce soit aux champs électromagnétiques (EMF).
  •  

  • Tous les dommages, pertes ou dépenses de quelque nature que ce soit, causés directement ou indirectement par, résultant de, ou lié, de quelque manière que ce soit à l’encéphalopathie spongiforme transmissible (TSE) en ce compris dans sa manifestation chez l’homme.

 





 

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