Histoires d'eau (suite)

 

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L’eau est un élément essentiel à la vie, près de 60 % du corps humain est constitué d’eau, ce qui correspond à peu près à 42 litres chez une personne de 70 kg, ce pourcentage atteignant même environ 78 % à la naissance...

 

L'eau n’est cependant pas répartie uniformément dans le corps, certains organes en contiennent plus que d’autres, par exemple :
- dans les poumons : 90 %,
- le sang : 83 %,
- le cerveau : 70 %,
- le muscle lisse : 75 %,
- les os : 22 %,
- les tissus adipeux : 10 %.

 

Ainsi, l'eau n'en finit pas de nous étonner... chacune de nos cellules baignant dans l'eau, d'où l'importance de sa qualité...

 

Sans eau, il n'y a pas de vie, énoncer cette vérité peut paraître simpliste, et pourtant c'est la base de tout, l'eau est chargée de toute la mémoire du monde... sans eau, il n'y a pas d'énergie, par ses propriétés électromagnétiques
particulières, l'eau intervient dans le processus d'échange et de transfert des énergies... c'est elle qui relie dans la nature vivante toutes les particules entre elles, et l'on sait aujourd'hui qu'elle est capable de conserver ses propriétés ou
d'en acquérir de nouvelles, selon la manière dont elle circule.

 

Sans eau, il n'y a pas d'informations, tout évènement, tout atome, toute planète, tout être vivant étant inter relié à l'ensemble du Cosmos et de l'Univers, et l'eau dont nous sommes constitués n'échappe pas à ce phénomène de résonance...

 

Ainsi, les composants biomagnétiques de la pierre ou de l’eau d’une source entrent en résonance, en syntonie harmonique avec l’eau de nos cellules, la molécule d’eau est en permanence en échange avec nous, c’est bien la molécule d’eau qui met l’humain en relation avec le cosmos...

 

Sans oublier non plus son aspect symbolique...



 

Les fontaines et les sources guérisseuses

 

Les fontaines et les sources guérisseuses

Les eaux souterraines proviennent des eaux de pluie qui s’infiltrent dans le sol par gravité dans les pores, les microfissures et les fissures des roches, humidifiant des couches de plus en plus profondes jusqu’à rencontrer une couche imperméable, où elles vont s’accumuler, remplissant le moindre vide, saturant d’humidité le sous-sol, et former ainsi un réservoir appelé aquifère.

 

La nappe cheminant en sous-sol sur la couche imperméable en suivant les pentes, parfois pendant des dizaines, voire des centaines de kilomètres avant de ressortir à l’air libre, pour venir alimenter une fontaine, une source ou un cours d’eau.

 

Les eaux de sources sont celles qui se rapprochent le plus de la définition de l'eau parfaite selon les critères de la Bioélectronique de L-C Vincent, dans tous les cas dans leurs versions naturelles à la source, car une fois mises en bouteilles, les choses se compliquent...
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L'eau vivante

 

Actuellement, le seul critère légal admis par les autorités sanitaires pour qualifier une eau destinée à la consommation humaine dont l'eau alimentaire, est celui de la potabilité, cette qualité d'eau reposant sur des paramètres physico-chimiques, microbiologiques et organoleptiques, ceux-ci étant variables d'un pays à l'autre et évolutifs (renforcement des normes par l'application de Directives Cadres Européennes), ces critères de potabilité de l’eau se limitent à des critères physiques, certes importants, mais c’est oublier la qualité “vitale” de l’eau, qui peut se mesurer...

 

Nous sommes tellement habitués à utiliser de l'eau, à savoir qu'elle est indispensable à la vie, que la question de sa qualité nous semble aller de soi.

 

Nous ne voulons pas d'une eau contaminée par des micro-organismes générateurs de maladies ou polluée par des pesticides ou des nitrates, mais cette eau dite potable peut être de qualité très variable, des mesures, des images/histoires-deau peuvent en effet révéler des différences quantitatives et qualitatives en rapport avec la vitalité de l'eau et son effet sur la santé.
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L'eau structurée

 

Histoires d'eau

Aujourd'hui, un nombre croissant de personnes prend conscience à des degrés variables du lien entre la qualité de l'eau consommée et la santé, de ce constat naît une double interrogation : quels critères retenir pour définir une eau alimentaire, et partant, quelle eau boire au quotidien ?...

 

À la notion de potabilité, certains scientifiques et médecins en ajoutent deux autres : la pureté et la structuration de l'eau... ces trois facteurs constituant le fondement du concept sanitaire plus global de bio-compatibilité de l'eau.
Selon par exemple la Bioélectronique de Louis-Claude Vincent, les caractéristiques d'une eau bonne à boire sont les suivantes :
- pH légèrement acide (entre 5 et 7),
- rH2 entre 24 et 28,
- et résistivité entre 6.000 et 100.000 Ohms (minéralité inférieure à 120 mg/litre).

 

Le dernier facteur, objet de débats encore confidentiels, porte le qualificatif de “structuration”, “dynamisation”, “revitalisation” de l'eau.

 

Pour le mettre en oeuvre, de nouvelles technologies du traitement de l'eau sont apparues depuis 15 ans, notamment aux Etats-Unis, l'eau issue de ces techniques étant dénommée indifféremment eau altérée, eau modifiée ou eau structurée, dénommée ci-après “PSE” (Procédé de Structuration de l’Eau)...
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L'eau et la santé

 

Les fontaines et les sources guérisseuses

Globalement, les eaux de sources en bouteille sont bien mieux notées que les eaux minérales du fait de la conjonction de plusieurs facteurs :
  • le pH est moins élevé et tend vers l'acidité plutôt que l'alcalinité,
  • l'eau est légèrement réductrice (rH2 inférieur à 28),
  • elle doit selon la législation être conforme aux critères de potabilité (ce qui n'est pas le cas des eaux minérales),
  • elle est nettement moins chargée en minéraux, avec un taux de résidus à sec inférieur à 150 mg / litre.
C'est une eau au goût "nature" qui provient de sources de surface (et non souterraine), idéalement d'un terrain granitique ou volcanique.

 

Elle peut généralement se boire au quotidien, mais n'est pas forcément exempte de pollution car elle reste sujette à la problématique des bouteilles en plastiques, et dans l'idéal, elle devrait être redynamisée et revitalisée avant de la consommer.

 

En soi, toute eau pourrait être considérée comme "thérapeutique", dans la mesure où "notre corps réclame de l'eau" (pour reprendre l'ouvrage du Dr. Fereydoon Batmanghelidj) et il en a besoin pour assurer son homéostasie et son métabolisme.

 

Dans les faits, la plupart des eaux sont cependant "mortes" et une bonne proportion est également polluée, soit par des minéraux non-assimilables par l'organisme, soit par divers polluants.

 

Selon les normes en vigueur, une eau est donc dite "thérapeutique" ou "médicinale" lorsqu'elle possède des propriétés reconnues et documentées, liées à sa composition spécifique en sels minéraux et en oligo-éléments et qu'elle a obtenue l'aval de l'Académie de Médecine, elle doit en outre surgir du sol à une température supérieure à 20°C.

 

Il est ainsi possible de distinguer plusieurs catégories d'eaux thérapeutiques

 

Les eaux sulfurées, du fait d'un taux élevé de soufre et d’acide sulfhydrique, ces eaux sont indiquées pour le traitement des infections chroniques aux muqueuses et les affections respiratoires (rhinites, otites, asthme, bronchites).

 

Les eaux sulfatées, fortement chargées en soufre, elles conviennent pour les affections de reins.
Lorsqu'elles renferment également du calcium et du magnésium, elles pourront également intervenir dans le traitement des eczémas et des séquelles de brûlures.

 

Les eaux chlorurées, chargées en chlorure de sodium, elles ont un effet stimulant sur la croissance et sont donc préconisées dans le traitement des troubles du développement.

 

Les eaux bicarbonatées contenant du bicarbonate..., en y ajoutant du sodium, on s'adressera aux troubles de la digestion (affections gastro-intestinales et hépatobiliaires), avec du calcium, on obtiendra un effet anti-inflammatoire pour traiter les maladies de la peau, l'acné ou les brûlures.

 

Les eaux oligo-métalliques faiblement minéralisées, riches en cuivre, elles sont indiquées en dermatologie, riches en fer, elles sont utilisées pour le traitement de l’anémie, en arsenic, elles interviennent dans le traitement des allergies.

 

Qui dit "thérapeutique" dit thérapie et surveillance médicale, dans le cadre d'un traitement lambda, il pourra être conseillé (par un médecin) de consommer telle ou telle eau sur une durée déterminée, typiquement de 21 jours au maximum.

 

Avec une précision essentielle de Roger Castell dans son livre sur la Bioélectronique : "Utiles à la source et sous surveillance médicale, elles perdent le principal bénéfice pour la santé: la propriété réductrice, dès la sortie du griffon"...
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Dynamisation, vitalisation, information

 

La dynamisation de l'eau

Citons le moyen naturel et gratuit, le soleil et la lune... les maraîchers ont l’habitude de laisser l'eau destinée à l'arrosage se chauffer au soleil, car ils savent par expérience qu'ainsi, elle sera beaucoup plus "bio-active"...

 

C'est ainsi qu'on voulut expliquer cette amélioration de l'eau d'arrosage par son élévation de température, Marcel Violet, grand expert en la matière, s'empressa cependant de faire remarquer que l'eau d'arrosage chauffée artificiellement n'avait pas à température équivalente manifesté les propriétés de celle réchauffée au soleil, évidemment, comme l'eau restait dans le bassin durant la nuit, elle recevait également les rayonnements lunaires.
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