Les réseaux géophysiques

 

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L'information du réseau dit Hartmann semble en fait la résultante et la concrétisation de l'induction du courant électrique 220 Volts et 50 Hertz en alternatif, qui alimente la technologie actuelle...

 

Aujourd'hui, nous posons un autre regard sur ces phénomènes grâce aux travaux de recherche sans cesse réactualisés dans ce domaine...

 






Nous baignons en permanence dans une ambiance électromagnétique plus de dix mille fois supérieure à celle naturelle du globe terrestre, ce qui explique sans doute pourquoi il est plus facile de trouver un réseau Hartmann qu’un réseau solaire en zone urbaine.

 

La différence des résultats entre le réseau H (le docteur Hartmann n’ayant pas souhaité lui donner son nom) et le Peyré (réseau naturel, ou solaire) tenant essentiellement au fait que le docteur Peyré qui dès les années 1937 émis l’hypothèse d'un réseau géomagnétique couvrant l'ensemble de la surface terrestre a toujours travaillé à l'extérieur, alors que le docteur Hartmann effectua ses recherches dans l'hôpital où il exerçait, or son hôpital était équipé d'une installation électrique en 110 Volts, pilotée par un générateur sur la fréquence de 50 Hertz (révolutionnaire pour l'époque).

 

On trouve forcément une différence importante de perception, le docteur Peyré ayant toujours travaillé dans des lieux vierges de toute pollution électrique, alors que le docteur Hartmann a établi son référentiel sur les mesures qu'il faisait dans un hôpital en béton armé et soumis à l'agression d'un système électrique.

 

La pollution électrique générant deux actions déterminantes...
- Elle masque entre autre le développement du réseau solaire (Peyré).
- Et elle fixe dans sa densité le réseau H, qui devient alors prédominant.

 

Géobiologie

On observe alors que la présence de champs électriques crée une distorsion au sein de la
trame naturelle (réseau Peyré), en la conditionnant sous forme de mailles relativement régulières (2 m x 2,50 m du réseau H), imposées par la fréquence 50 Hertz du courant que l'on rencontre dans les lieux domestiques ou industriels alimentés en courant électrique.

 

Lorsque dans une habitation, on disjoncte à partir du compteur l'installation électrique
par exemple, ce qu’il m’arrive de faire chez des clients, on observe que le réseau H s'évanouit progressivement au bout d'un certain temps (environ 1h à 1h 1/2), dépendant cependant des conditions météorologiques et des équipotentiels du lieu, et qu’à sa place
réapparaît le réseau naturel masqué par le réseau H, laissant alors accès aux informations subtiles du lieu.

 

Le réseau H étant un réseau tellurique de nature électrique, il est associé au Nickel, les lignes Nord-Sud sont de composante magnétique et celles Est-Ouest, de composante électrique.

 

Il varie fortement selon son emplacement et son environnement, l’intensité de ses rayonnements variant également suivant les heures de la journée, ainsi qu'en fonction des positions de la lune et du soleil.

 

Son intensité maximum se situant entre minuit et 2 heures du matin, avec une intensité minimum entre 5 et 7 heures, puis entre 17 et 19 heures.

 

 

Ainsi, pour les anciens, le réseau naturel (Peyré) était une bénédiction et il était utilisé pour construire les sanctuaires, les palais et les villes, alors que pour l'homme moderne, le réseau H est devenu une source de nuisances qu'il convient de rectifier...

 

C’est la raison pour laquelle, la première des actions à effectuer dans un lieu de vie sera de réduire et de minimiser les émissions de champs électromagnétiques artificiels...

 







 

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